Des chansons joliment sentimentales, parfaitement construites sur des ondulations pop disco-house propices à quelques pas de danse, Valère distille instantanément un effet "feel good? Élevé avec les Beatles, les Rolling Stones d'un côté et Souchon, Voulzy, Bashung de l'autre, Valère se revendique de ce croisement, sur lequel il appose une guitare pop-funk influencée par Tom Misch, Roosevelt ou L'impératrice.
Avec des chansons intimes, souvent autobiographiques, Valère propose une certaine forme de légèreté et des textes ciselés à lélégance nonchalante, qui préfigurent un premier EP en toute simplicité, ponctué d'un flegme élégant, d'une efficacité remarquable et déconcertante.
Avec des chansons intimes, souvent autobiographiques, Valère propose une certaine forme de légèreté et des textes ciselés à lélégance nonchalante, qui préfigurent un premier EP en toute simplicité, ponctué d'un flegme élégant, d'une efficacité remarquable et déconcertante.